Fondation Byas
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Les projets soutenus par la Fondation Byas

Au fil des ans, de nombreuses réalisations de l’hôpital l’Espérance ont été soutenus et financés, en partie ou en totalité, par la Fondation Byas. En voici un résumé.

2016 — Le pavillon MEDICO loge le service de santé communautaire ainsi que les salles de formation et de réunion. La Fondation a financé la réfection de la toiture pendant que le Catholic Medical Mission Board (CMMB) subventionnait la finition intérieure de l’étage du bâtiment pour le rendre plus fonctionnel. Tout comme en 2015, la fondation a défrayé du matériel médical en soutien à la mission chirurgicale tenue au mois de janvier et a financé le salaire de l’infirmière-chef du CTC.

2015 — Comme l’épidémie de choléra n’est hélas pas encore éradiquée, la fondation a financé cette année encore le salaire de l’infirmière chef du Centre de traitement du choléra de l’hôpital (CTC). En second lieu, la fondation a défrayé un inventaire de matériel médical (pansements, solutés, compresses, désinfectants, gants de chirurgie, masques et carburant pour la génératrice) afin de soutenir les missions chirurgicales effectuées par l’équipe médicale française des Amis de Sœur Madeleine et d’Haïti. Finalement, une somme de 8000 $ a permis de combler la nécessité urgente de dédouaner l’ambulance neuve que venait d’acheter l’hôpital et qui était retenue à la douane haïtienne. Puis un montant de 4000 $ a comblé une autre urgence, celle de remettre en bon état les génératrices de l’hôpital. Le financement de ces deux réalisations, soit 12 000 $, était à l’origine destiné à un projet moins urgent, soit la réfection de toit d’un pavillon de l’hôpital nommé MEDICO. Ce projet a dû être reporté à l’année suivante.

2014 — Comme l’incidence de l’épidémie de choléra a grandement diminué en 2013 l’Organisation mondiale de la santé (OSM) a retiré son soutien au fonctionnement des centres de traitement du choléra des hôpitaux d’Haïti. Par ailleurs, il y a encore une quarantaine de cas par mois qui se présentent à l’hôpital l’Espérance et cet état de fait menace la situation financière de l’hôpital. En conséquence, une demande a été adressée à la fondation Byas pour un support financier axé sur une intervention curative plutôt qu’à la réalisation d’un projet immobilier. L’objectif est donc cette année de pourvoir à la rémunération d’une infirmière et du personnel de soutien au Centre de traitement du choléra pour permettre à l’hôpital l’Espérance de sauver des vies sans trop compromettre ses autres services de santé. En marge de ce projet, la fondation finance aussi une réfection majeure et urgente du perron couvert et adjacent à la résidence des sœurs, de même qu’elle finance aussi le remplacement des batteries du système électrique de la salle d’urgence.

2013 — La fondation Byas a soutenu la réalisation de 3 projets en 2013. En effet, l’hôpital a dû, au cours de la dernière année, renforcer sa direction et a procédé à l’embauche d’un directeur médical, d’un responsable des soins, d’un responsable du laboratoire et d’un responsable des ressources humaines. En outre, le périmètre d’attente au service d’Urgence n’était pas abrité. Les patients attendaient sous la pluie ou le soleil. L’hôpital a procédé à la construction d’un abri pour ces patients. Le rapport annuel 2011 de la fondation relatait que l’hôpital venait d’acquérir un appareil de radiographie. Avec un modeste budget appliqué à un inventaire de films et de réactifs, l’hôpital sera maintenant en mesure de soigner aussi les patients indigents dont le diagnostic requiert une radiographie.

2012 — Il y a un an, l’hôpital a électrifié le pavillon du service de maternité. La présence récente d’un gynécologue en titre rendait possible la mise à niveau de ce service. Dans ce cadre, la fondation a financé l’acquisition des équipements de base : un moniteur fœtal, une source lumineuse pour examen gynécologique, un appareil d’échographie, un bistouri électrique et un appareil de cautérisation.

2011 — L’hôpital, débordé de patients lors de l’épidémie de choléra, n’était pas en mesure d’entreprendre de projets de modernisation. Ainsi, la fondation s’en est tenue à soutenir la qualité des services de santé communautaire dans chacune des huit zones rurales de la commune de Pilate afin d’en améliorer les pratiques d’hygiène publique.

2010 — Les bâtiments d’origine de l’hôpital ont déjà un demi siècle. Les pièces métalliques des fenêtres de l’hôpital devaient être changées pour en rétablir le fonctionnement dans plusieurs cas. Ce qui fut défrayé par la fondation.

2009 — L’agrandissement de l’hôpital a pour effet d’accroître la consommation d’eau. Consciente du lien étroit entre la qualité de l’environnement et le niveau de la santé publique, la direction de l’hôpital a voulu disposer adéquatement de ses eaux usées. Ainsi la fondation a soutenu le projet de construction d’un système d’égouts conduisant à un bassin collecteur de traitement des eaux usées.

2008 — L’hôpital est situé sur une colline en retrait du village. La montée d’accès y est assez abrupte jusqu’à la barrière d’entrée. L’ouragan Jeanne en 2004 avait abîmé les travées de béton de la Montée de l’Espérance. Les pluies abondantes des années suivantes ont rendu urgente la réparation de ces travées de béton. Ces travaux ont été défrayés par la fondation.

2007 — La vocation élargie de l’hôpital entraîne l’arrivée à Pilate de compétences professionnelles supplémentaires qui viennent y travailler. Dans ce contexte, la fondation a contribué à l’agrandissement et à l’aménagement de la résidence du personnel professionnel hospitalier non domicilié à Pilate.

2006 — La Fondation a contribué à l’agrandissement du laboratoire de l’hôpital et à l’ajout de deux salles de consultation dans le but d’appliquer le programme de l’Organisation mondiale de la Santé pour lutter contre le VIH/SIDA.

2005 — La Fondation a contribué au financement de la réfection complète du toit du pavillon principal de l’hôpital.

2004 — Suite à l’ouragan Jeanne, la Fondation a défrayé la reconstruction d’une partie du mur d’enceinte de l’hôpital dont l’écroulement fut causé par un lessivage localisé du sol sous les fondation du mur pendant les pluies torrentielles accompagnant l’ouragan.

2003 — En vue de mise en œuvre d’un programme de lutte contre la propagation du SIDA, la Fondation a contribué au financement de l’asepsie de la salle d’opération par le recouvrement en céramique du plancher et des murs de béton de la salle.

2002 — Afin de permettre à l’hôpital de disposer avec sécurité de ses déchets bio-médicaux antérieurement consumés dans une fosse en béton, la Fondation a financé la construction d’un incinérateur destiné à cette fin. La Fondation a également contribué à l’installation d’un climatiseur dans la salle d’opération.

Le dortoir2001 — Une nouvelle campagne de financement a permis la construction d’un dortoir hospitalier pour héberger, jusqu’au lendemain, les parents ou amis qui ont transporté sur une longue distance (4 à 6 heures de marche) un des leurs à l’hôpital. Rappelons qu’il n’y avait auparavant aucun service d’hébergement à Pilate.

2000 — Dans la perspective de contribuer à freiner le déboisement de la vallée de Pilate pour la production de charbon de bois servant à cuire la nourriture, la Fondation a financé la conversion des poêles au charbon de bois de la cuisine de l’hôpital pour installer des cuisinières au gaz.

Pour l’œuvre humanitaire de l’hôpital l’Espérance de Pilate, en Haïti

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Dernier rapport annuel

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